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Chronique de Dream 4:13
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lovecats
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MessagePosté le: Mar Nov 11, 2008 12:41    Sujet du message: Répondre en citant

The X Phil a écrit:
lovecats a écrit:
Combien de groupes des années 80 sont encore là et peuvent se targuer d avoir vendu autant d albums et rempli autant de salles de concert ???


Heu, chais pas... mais je peux t'en citer au moins deux qui en ont vendu beaucoup plus et remplissent largement mieux les stades U2 et Depeche Mode !
Faut pas se voiler la face sur l'image de Cure aujourd'hui, leur succès, leur réussite et touticouanti... Mais ça sert à rien non plus de les dénigrer et de préférer leur mort !


Oui U2 et Depeche Mode, mais Simple Minds et tous les groupes que tu entendais dans le début des années 80, on ne les voit plus me semble t il.

The Cure a évolué et n a pas toujours fait de bons albums certes, mais comme tu dis ce dénigrement est abjecte !!!
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Lovecats
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MessagePosté le: Mar Nov 11, 2008 20:46    Sujet du message: Répondre en citant

6ème chronique de l'album sur xsilence.net

Fabenz a écrit:
La peur renaît là où l'espoir commence...

Et grand dieu que j'ai eu peur à l'écoute des quatre singles précédents la sortie de 4 :13 Dream.

Non pas que leur qualité intrinsèque en faisait d'affreux rejetons à même de forcer les Cure droit sur le chemin de la rédemption finale, mais le manque de cohérence de "l'ensemble" ainsi défini, la redondance des thèmes abordés et le strabisme notable de Smith envers les aspects les plus contestables de la vague émo n'auguraient qu'un album sans âme ni foi autre que celle du retour éternel.

Belle surprise et grand soulagement donc à l'écoute de ce 4:13, tant il m'apparaît aujourd'hui comme la synthèse parfaite de l'ensemble de la production des Cure depuis Wish, mêlant avec habileté les relents noisy de The Cure, l'éclectisme de Wild Mood Swing et la cohérence de Bloodflowers.

Car oui, c'est bien dans l'étroit carcan de ce paradoxe que réside la qualité de 4 :13 Dream, cet album qui parvient à conjuguer l'ambition avouée du groupe de nous tendre un miroir dans lequel se reflètent, déformées, leurs multiples visions et l'avènement d'un son noisy qui tend à conférer à l'ensemble cette unité de ton qui faisait tant défaut à The Cure et Wild Mood Swing.

Ainsi, il se dégage de ce disque une véritable atmosphère qui permet à 4:13 Dream de s'affirmer comme un monde "en soi", là où The Cure" n'avait de sens que dans la lecture rétroactive des diverses ambitions passées du groupe.

Au travers des brumes émanant des distorsions "Thompsonniennes" ("Real Snow White", "Switch") se découpent ça et là de folles ombres chancelantes ("Sirensong"), d'improbables éclats incandescents ("The Hungry Ghost") ou encore d'imposantes cathédrales de sons ("This Here And Now With You", "Underneath The Stars") avant qu'un cri final et strident n'en vienne à déchirer le voile âpre et mystérieux qui avait jusqu'alors accompagné l'auditeur dans son voyage ("The Scream").

Enfin, l'effort notable quant à la qualité des textes se distingue ici nettement dans l'abord, tout en nuance, de thèmes autrefois plutôt délaissés ("The Hungry Ghost") et la redécouverte d'une imagerie rêveuse ("This Here And Now With You") tandis que Smith, fidèle à lui-même, continue de piocher avidement dans la richesse de sa culture littéraire (l'Almanach du Pauvre Richard de Benjamin Franklin sur "Sleep When I'm Dead").

Laissons désormais à ce cher Benjamin Franklin le soin de conclure:

"The eye of the master will do more work than both his hands."

Très bon : 16/20
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imagho
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 08:16    Sujet du message: Répondre en citant

sly a écrit:
Underneath the stars : révèle l'influence de l'environnement physique de Robert sur son inspiration, tout se comprend relativement à la mer : le ressac (les aller-retour batterie humaine/machine), les échos de la voix (reflux), les assauts batterie/bass6 (récifs), les carillons (non trafiqués & joué de façon classique donc rien à voir avec Plainsong) renvoient à l'écume, la fin qui fait penser à la marée lorsque la mer se retire, etc...
Aussi non l'album présente une vraie unité dans le son en général même si Robert joue à fond sur les contraste ce qui fait que l'album fonctionne très bien (bon j'accroche toujours pas à Sirensong).
The Cure était dopé à la testostérone américaine, tout en live avec un mixage très spatial (batterie et voix au centre le reste à gauche & à droite), là on revient au style très anglais riches de subtilités (démultiplication des effets sur les voix, comme déjà à l'époque de Faith (cf Drowning man ou la phrase se termine lorsqu'une autre commence), sur Disintegration aussi (chanson titre (voix d'enfants anthropophages sur la chanson titre), la patate n'est plus brutal ni dans la force mais dans le rythme et l'écriture très rock (me fait beaucoup penser à l'esprit de All i want sur Kiss me) tout en gardant un aspect très accrocheurs (ah la la, ceux qui n'entendent pas les mélodies vous manquez quelque chose), tout ceci fait un album dnas la lignée de Cure tout en poursuivant l'aventure vers de nouvelles contrées.


Merci pour toutes ces remarques si intéressantes, sly. Lors de ma dernière écoute de l'album je pensais justement à la mer en écoutant Underneath the Stars.
D'accord avec toi sur les contrastes, il y a du texte brut qui côtoit des enluminures. D'accord encore avec toi sur l'unité du disque, malgré sa grande diversité. Cassavetti a encore trouvé une belle formule en parlant de l'"harmonieuse rupture" avec laquelle s'enchaînent les titres.
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Hugo Cassavetti
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shiboome
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 09:55    Sujet du message: Répondre en citant

Chronique très positive sur Sound of violence :

"Robert Smith est un personnage complexe à la fois dictateur et plein de doutes qui remet sur l’ouvrage ses albums jusqu’à épuisement des délais et des équipes. Alors, le voilà enfin le treizième album de The Cure. Quatre singles et une tournée auront permis aux plus curieux d’en découvrir un bon tiers avant sa sortie, mais l’attente fût longue.

Dès les premières mesures, on sait qu’elle est récompensée. Le son est tranchant, l’atmosphère orageuse et romantique, du grand The Cure comme ils n’ont jamais cessé de l’être sur scène. Underneath The Stars qui ouvre l’album en est le meilleur exemple. C’est aussi le seul morceau dépassant cinq minutes, une première depuis vingt ans. Le groupe a enfin retrouvé la formule de la chanson efficace qui vous transporte et vous vrille la tête et les tripes sans y passer des plombes.

La bonne formule c’est ce quatuor sans synthés, et avec pour piliers les deux faux frères Simon Gallup et Robert Smith, et son beau frère : Porl Thompson. Porl est un virtuose de la guitare, un personnage plus posé et pourtant celui qui apporte la touche la plus psychédélique au groupe. A quatre, chaque musicien doit porter les morceaux sous la houlette d’un Robert en chef de commando gothique.

4:13 Dream permettra aux anciens de recoller les morceaux et de retrouver de vieilles sensations, et c’est aussi un album intemporel qui pourra faire monter dans le train fantôme un public plus jeune. Hungry Ghost et Switch sont des morceaux rapides et puissants aussi accessibles que Fascination Street alors que The Scream est un cauchemar électrique échappé de la période The Top, celle qui avait vu le début de la vraie collaboration entre Porl Thompson et The Cure, et le retour de Simon Gallup... en 1983.

On regrettera deux morceaux facheux. Freakshow, une auto parodie, et Siren Dong un « truc » tout sirupeux. Heureusement, après ce passage à moue, l’album reprend son rythme avec un Real Snow White aux guitares puissantes et assurées.

Après trente ans, on peut dire que The Cure est un groupe qui s’est trouvé et qui achève avec cet album le travail fait sur les deux précédents qui avaient vu le groupe s’orienter vers une voie plus brut et définitivement sombre après des essais pop moins réussis dans les années 1990. Ce mélange de psychédélisme et de brutalité était même plutôt l’apanage de quelques singles isolés ou de Faces B. 4:13 Dream est censé être la face pop d’un autre album plus obscur qui devrait sortir en 2009. Et s'il en était la face B ? Tout est possible."

Jean-Christophe Gé


http://www.soundofviolence.net/articles/album/1650/the_cure_4_13_dream.html
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Soledad
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 10:49    Sujet du message: Répondre en citant


intéressantes ces chroniques, ça fait 30 ans que j'en lis je me dis mierda on va t'expliquer pourquoi Cure c'est pas bien ou c'est moyen avec plein d'approximations et de formules toutes faites qui m'ennuie.

'aime bien Xsilence même si je n'y vais plus comme ici

je vois encore que Cédrik peut se permettre d'être insultant juste par jalousie
pas notre faute si tu t'es fait viré de poppingay machin tant tu es prétentieux, tu crains ..pas de soucis l'administrateur t'adore moi il veut me virer je m'en tape...t'es un vrai jaloux pathologique ...oui je sais c'est moi la méchante

autrement la ligne de basse sur It's over me rappelle aussi quelque chose d'ancien style un groupe de rock progressif me souviens plus..

toutes les chroniques parlent de l'âge de Robert de son poids rien ne change
juste ces putains de trentenaires voire quadra qui ont une angoisse telle de la mort et de l'âge que ça me saoule tout au long des chroniques...et ici aussi

me voit pas noter un album de cure
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 11:55    Sujet du message: Répondre en citant

Quand même quelques approximations dans la chronique de SounOfViolence, et l'emploi du mot "gothique" ça devient carrément usant... Non je crois que ça a dépassé ce stade même. Mais bon. Laughing

Le dernier paragraphe est plutôt sympa néanmoins.
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TOBERR
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 13:33    Sujet du message: Répondre en citant

bertrand64 a écrit:
un article de plus dans le nouveau numero de ELEGY : on a droit à un track by track sur 2 pages et une photo du groupe ( promo du début de l'année )

Dans l'ensemble, l'album a plu au journaliste, même si celui ci attendait plutôt une album plus chargé de noirceur, voir un double ! la déception passée, il s' est attaché à bien écouté l'album et trouver le moyen de parler de tous les titres ... tout en en oubliant THE REASONS WHY dans son papier !!! ( il avait fumé ou quoi ? )

Ce papier est tout de même plutôt positif, avec , évidemment les lauriers pour UNDERNEATH THE STARS, THE SCREAM et IT'S OVER et soi-disant un début de disque " un poil fadasse " ...

bref, rien de nouveau sous le soleil, on retrouve quand même des articles sur CRANES, NEW ORDER ou KILLING JOKE et BLOC PARTY, ce qui permet un instant d'oublier le fait d'avoir payé le journal 7 euros ...

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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 13:53    Sujet du message: Répondre en citant

Soledad a écrit:




me voit pas noter un album de cure
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moi non plus!!! on se croirait a la star ac!!!
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 14:07    Sujet du message: Répondre en citant

Soledad a écrit:

intéressantes ces chroniques, ça fait 30 ans que j'en lis je me dis mierda on va t'expliquer pourquoi Cure c'est pas bien ou c'est moyen avec plein d'approximations et de formules toutes faites qui m'ennuie.

'aime bien Xsilence même si je n'y vais plus comme ici

je vois encore que Cédrik peut se permettre d'être insultant juste par jalousie
pas notre faute si tu t'es fait viré de poppingay machin tant tu es prétentieux, tu crains ..pas de soucis l'administrateur t'adore moi il veut me virer je m'en tape...t'es un vrai jaloux pathologique ...oui je sais c'est moi la méchante

autrement la ligne de basse sur It's over me rappelle aussi quelque chose d'ancien style un groupe de rock progressif me souviens plus..

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me voit pas noter un album de cure
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Complètement d accord.

L age de Robert Smith et son poids, qu est ce qu on en a a foutre Evil or Very Mad Evil or Very Mad

Et pour bientôt 50ans il est très bien et ne les fait pas. Simon non plus d ailleurs.

L important c est sa musique.
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sly
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 14:30    Sujet du message: Répondre en citant

Imagho merci pour ta réaction qui plus est, est positive (double plaisir Cool )
Alors encore des petites idées :
je trouve que l'écriture de Robert s'est radicalement transformé.
Jusqu'alors nous avions droit à des textes psychédéliques dans la forme avec des musiques plus structurée en terme de phrases mélodiques et de rythme (pas une phrase ayant le même rythme/longueur/mélodie que la précédente en général tandis que la musique était très structuré (le summum étant l'album Disintegration où le travail de structuration dans les compositions est le plus évident)). Et ce jusqu'à The Cure il me semble même s'il peut y avoir quelques exceptions qui confirment la règle comme Snakepit par exemple.
Avec cet album, au contraire, les textes sont hyper structurée quand la musique devient, elle, carrément psychédélique dans la composition. On a des phrases qui dans le rythme, la longueur, et la mélodie possèdent la même forme tandis que la musique est tellement plus psychédélique que nombre de détracteur de l'album interprètent cela comme de l'absence de mélodie, de structure, un aspect brouillon, des fins de morceaux baclées, etc...
Je m'en suis rendu compte parce que jusqu'alors je trouvais extrêmement difficile d'apprendre une chanson de Cure par coeur du fait de l'astructuration apparente des textes (rythme, longueur des phrases, mélodie du chant évoluant entre chaque phrase) & là je me retrouve à avoir les chansons qui tournent de façon limpide dans ma tête grâce aux textes plus faciles à retenir dans la forme et ce pour tous l'album (alors que le chant a l'air carrément casse gueule, Robert s'étant lâché comme jamais, attention aux versions live).
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 15:08    Sujet du message: Répondre en citant

Très intéressant ce que tu dis Sly sur l'inversion des structures entre la zik et les paroles (certains vont encore dire que ça fait trop intello), effectivement ça se sent sur cet album. Bon pas TOUT l'album (je pense par exemple à The only one et aux singles en général ou il y a quand même un certain équilibre entre les deux), mais rien que sur Underneath the stars les guitares semblent flotter, suivre vraiment le mouvement des vagues (comme les effets sur la voix d'ailleurs).

Par contre en ce qui me concerne, j'arrivais mieux à apprendre les textes avant, bizarrement.
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MoOn
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 15:10    Sujet du message: Répondre en citant

intello nan je comprends Laughing ,interessant oui..
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 16:08    Sujet du message: Répondre en citant

Ah ben moi j'ai un peu de mal à apprendre certains textes, d'autres passent tout seuls. Par contre, je trouve que les paroles fonctionnent beaucoup comme d'habitude, sur de subtiles variations. Par exemple, sur le refrain de "The only one", avec "better/wetter/meta" un coup, "crazier/hazier/mazier" l'autre. C'est un grand classique de Robert, et il en use encore pas mal ce coup ci...
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 18:12    Sujet du message: Répondre en citant

SWID tiens tellement sur son texte que pour l'intro la musique même s'efface quasiment (Robert acapella)
content de participer à faire avancer le shmilblick Laughing
aussi non c'est possible que dans l'écriture même Robert use de jeux poétiques dont il a déjà utilisé par le passé. Il est même possible qu'il utilise les mêmes notes/rythmes ou accords par le passé je n'ai pas été jusqu'à ce niveau d'analyse Wink
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MessagePosté le: Jeu Nov 13, 2008 22:13    Sujet du message: Répondre en citant

j'avais pas tilté jusqu'à ton intervention Sly, mais je suis comme toi. Alors que sur les précédents albums j'avais du mal à retenir les paroles, sur celui-là, elles me trottent dans la tête, y compris "the real snow white", qui ressemble plus à une histoire racontée par robert.
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MessagePosté le: Ven Nov 14, 2008 11:39    Sujet du message: Répondre en citant

Pour The real snow white j'ai bien une idée en ce qui concerne le texte, la chanson en général... Mais je dévoilerai tout ça dans une review quand j'aurai le temps. Wink
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miroku
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MessagePosté le: Ven Nov 14, 2008 15:44    Sujet du message: Répondre en citant

Etant devenu neuneu de The Real Snow White, j'attends donc avec impatience Wink
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MessagePosté le: Ven Nov 14, 2008 15:50    Sujet du message: Répondre en citant

lovecats a écrit:

j

Complètement d accord.

L age de Robert Smith et son poids, qu est ce qu on en a a foutre Evil or Very Mad Evil or Very Mad

Et pour bientôt 50ans il est très bien et ne les fait pas. Simon non plus d ailleurs.

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faut JAMAIS dire à un vioke qu'il ne fait pas son âge
si tu savais ce qu'on en pense....
la réflexion était de trop car s'ils faisaient leur âge (je vois pas trop ce que ça veut dire) ce serait ridicule comme dit Stéphane de danser sur Freakshow ?

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MessagePosté le: Ven Nov 14, 2008 16:16    Sujet du message: Répondre en citant

miroku a écrit:
Etant devenu neuneu de The Real Snow White, j'attends donc avec impatience Wink


C'est me faire trop d'honneur Wink Et surtout vu comme je suis occupé c'est pas demain la veille Laughing Et j'espère aussi qu'Imagho est à fond sur l'album. Cool
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MessagePosté le: Ven Nov 14, 2008 16:47    Sujet du message: Répondre en citant

Soledad a écrit:
lovecats a écrit:

j

Complètement d accord.

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Et pour bientôt 50ans il est très bien et ne les fait pas. Simon non plus d ailleurs.

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faut JAMAIS dire à un vioke qu'il ne fait pas son âge
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la réflexion était de trop car s'ils faisaient leur âge (je vois pas trop ce que ça veut dire) ce serait ridicule comme dit Stéphane de danser sur Freakshow ?

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C est quoi ce ton agressif que tu prends avec moi ??
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