Saga The Cure sur RTL 08/11/2008

[phenyx]

Ce soir : avec concours très difficile !!!!

http://www.rtl.fr/fiche/2418762/la-saga-the-cure.html

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"Là un dard venimeux
Là un socle trompeur
Plus loin
Une souche à demi-trempée
Dans un liquide saumâtre
Plein de décoctions
D’acide…"

[bluetopheadkiss]

trop dure la question

[billouparis]

c'est coton oui!
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Bill

Il y a des chances que rien n'bouge.

[olipunker]

On peut écouter l'émission en podcast (ou récupérer l'émission via Itunes)?
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La vie en rock sur https://twitter.com/rock_inpop

[headbanger]

Y'a pas l'air d'avoir de podcast. Et je pourrais pas l'écouter!
Si quelqu'un la rippe, je suis preneur.
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[Manon_Sometimes]

Ca commence.


-Sirensong-
Selon son leader Robert Smith, The Cure est le meilleur remède au manque d’imagination de notre environnement musical. Cet avis est visiblement partagé par bon nombre de personnes, en particulier en France où l’audience du groupe a toujours été importante. Le succès de Cure est universel, et c'est un succès d’autant plus remarquable qu’il a été acquis sans concession au business ou à la mode.
Leur nouvel album studio, le treizième de leur discographie, s'appelle "4:13 DREAM". On y retrouve les quatre singles qui l'avaient annoncé et qui étaient parus successivement le 13 mai, le 13 juin, le 13 juillet et le 13 août, avant d'être réunis le 13 septembre dans un mini album intitulé "Hypnagogic States".
-The only One-

Les débuts de Cure remontent à 1976. A cette époque, ils sont cinq et se produisent d’abord sous le nom de Malice, puis sous celui d’Easy Cure. Après deux années d’expérience collective, le groupe est réduit à un trio composé de Michael Dempsey à la basse, Laurence Tolhurst à la batterie et Robert Smith au chant et à la guitare. En juin 78, Easy Cure adopte un nom plus court : The Cure. Ils enregistrent quelques maquettes qu’ils envoient à sept compagnies différentes et en septembre, ils sont signés par Chris Parry qui vient de quitter Polydor pour fonder son propre label, Fiction Records.
Le premier single de Cure, “Killing an Arab”, parait en décembre 78. Directement inspirée de “L’étranger” d’Albert Camus, cette chanson a été trop souvent mal comprise, certains y voyant de manière simpliste une incitation au meurtre raciste.
-Killing an arab-

L’album “THREE IMAGINARY BOYS” paraît en mai 79. Sur la pochette à l’humour très britannique, on peut voir trois objets très ordinaires : un aspirateur, un lampadaire et un réfrigérateur. Mais pas de photo de Cure, car Chris Parry a préféré ne pas montrer un groupe qui, à l’époque, s’habille dans les grands magasins pour tenter de passer inaperçu ! Un mois plus tard, le single “Boys don’t cry” confirme le rôle majeur de Cure dans l’émergence de la toute jeune new-wave.
-Boys don't cry-

En septembre 1979, les Cure entament leur première grande tournée anglaise en première partie de Siouxsie & The Banshees. Après quelques jours, deux Banshees sont renvoyés et Siouxsie se retrouve seule avec son bassiste, Steve Severin. Elle trouve rapidement un autre batteur et, pour les parties de guitare, elle fait appel à Robert Smith qui se livre donc sur scène à un véritable marathon, d’abord avec son groupe, les Cure, puis en vedette avec les Banshees.
-10:15 Saturday Night-

En février 1980, Chris Parry tente une première approche du marché américain avec “BOYS DON’T CRY”, un album qui réunit les trois premiers singles du groupe et des extraits de “Three imaginary boys”. Les Cure embauchent alors le clavier Matthieu Hartley et le bassiste Simon Gallup, un ami d’enfance de Robert Smith, qui remplace Michael Dempsey parti rejoindre les Associates. C’est cette formation qui enregistre “SEVENTEEN SECONDS”, l’album qui parait en avril 1980.
Composé de longues pièces atmosphériques et brumeuses, “Seventeen seconds” surprend ceux qui attendaient un remake de “Three imaginary boys”. Mais la majorité du public apprécie. L’album et le single “A forest” entrent dans le hit-parade anglais.
-A forest-

Les Cure tournent alors de façon intensive en Europe, en Australie et aux Etats-Unis, où c’est leur première visite. En septembre 1980, ils redeviennent un trio après le départ de Matthieu Hartley, et Simon Gallup prend en charge les parties de clavier.
A peine rentrés en Angleterre, les trois musiciens proposent leur nouvel album, “FAITH”. Dans sa version cassette, “Faith” propose en bonus un long morceau instrumental baptisé “Carnage visors”. Il s’agit de la musique d’un film d’animation en noir et blanc qui est projeté en première partie des concerts de leur nouvelle tournée mondiale.
Au cours de cette tournée, les cheveux poussant, les membres du groupe adoptent petit à petit leur fameux look “noir ébouriffé” et Robert Smith commence à faire un usage intensif de rimmel et de rouge à lèvres.
-Primary-

Après le single isolé “Charlotte sometimes”, les Cure prennent quelques mois de vacances. Une tournée difficile sous pression constante, mais aussi trop d'alcool et de drogues diverses, ont usé leur santé et leur moral.
Lorsqu’ils reviennent en mai 82, c’est avec un album noir et violent, “PORNOGRAPHY”, dont la pochette représente trois ectoplasmes, une image révélatrice de leur état mental et physique. Si le public réserve un bon accueil à "Pornography" qui se classe dans le Top Ten anglais, la majorité des critiques ne l'apprécie guère.
Au cours de l’été 82, la tension entre les musiciens grimpe d'un cran et Simon Gallup s’en va. Le groupe éclate momentanément et Lol Tolhurst, qui a décidé d’abandonner la batterie, profite de ces vacances forcées pour se perfectionner au synthétiseur. En novembre, Smith et Tolhurst se retrouvent le temps d’un single, “Let’s go to bed”.
-Let's go to bed-

Né d'une collaboration entre les seuls Robert Smith et Lol Tolhurst, "Let's go to bed" apparaît comme une ultime tentative pour maintenir le groupe en vie. Mais lorsque Robert Smith repart en tournée avec Siouxsie & The Banshees, pour tout le monde, le message semble clair : les Cure, c’est fini. D’autant que Robert Smith et Steve Severin, le bassiste des Banshees, viennent d’enregistrer un album commun, “BLUE SUNSHINE”, sous le nom de The Glove.
Pourtant, en juillet 1983, sans doute poussé par Chris Parry, Robert Smith décide de réactiver les Cure. Avec Lol Tolhurst, il écrit quatre chansons qui paraissent sous la forme d’un maxi single dont le titre vedette est “The walk”. Les Cure s’augmentent alors de deux musiciens, Phil Tornalley et Andy Anderson, et c'est sous la forme d'un quatuor qu'ils tournent aux Etats-Unis pendant le mois d’août. Ils y donnent surtout des petits concerts, histoire de se rôder. En octobre, le single “The lovecats” se classe n°7 en Grande-Bretagne.
-The lovecats-

En décembre 83, les trois derniers singles des Cure, “Let’s go to bed”, “The walk” et “The lovecats”, sont rassemblés sur la compilation “JAPANESE WHISPERS”.
Robert Smith participe ensuite à l’enregistrement de l’album de Siouxsie & The Banshees, “Hyaena”, avant d’entreprendre une nouvelle tournée des Cure avec un cinquième musicien, le guitariste Porl Thompson, un ami de la période Easy Cure qui est aussi son beau-frère. En 1984, deux nouveaux disques voient le jour : un live baptisé “CONCERT”, et “THE TOP”, considéré comme le premier véritable album du groupe depuis deux ans, même si Robert Smith y joue seul de tous les instruments, la batterie mise à part.
-The caterpillar-

C’est en France que les Cure sont les plus populaires. Ce qui n’est pas surprenant de la part d’un pays qui a déjà plébiscité d’autres groupes “à climat”, comme Pink Floyd ou Genesis. Un peu partout, on voit apparaître des clones de Robert Smith, tout de noir vêtus, la tignasse folle et le rouge à lèvres approximatif.
Fin 84, après un nouveau chassé-croisé de musiciens, les Cure proposent le single “In between days”, puis en juin 85, l’album “THE HEAD ON THE DOOR”. C’est un disque optimiste qui témoigne de la bonne santé, tant physique que morale, de Robert Smith. Dans une veine plus commerciale, plus accessible que les précédents, il est destiné à faire connaître les Cure à un public non averti, et il remplit parfaitement sa mission.
-Inbetween Days-

En avril 86, une nouvelle version de “Boys don’t cry” annonce une compilation qui rassemble les singles du groupe. Elle porte deux titres différents selon le support utilisé : “STANDING ON THE BEACH” pour le vinyle et la cassette et “STARING AT THE SEA” pour le CD et la vidéo.
“Standing on the beach, staring at the sea”, ce sont les premières lignes de “Killing an arab”, la chanson avec laquelle tout avait commencé pour les Cure. Parmi les 17 chansons proposées ici, on retiendra “Close to me”, un extrait de l’album “The head on the door” qui est un gros succès en France.
-Close to me-

La première du film “The Cure in Orange” a lieu en avril 87 à Londres. C’est une réalisation de Tim Pope, le directeur fétiche de leurs clips, qui les avait filmés en août 86, alors qu’ils terminaient une tournée triomphale dans les arènes du Sud de la France.
Au même moment paraît le double “KISS ME, KISS ME, KISS ME”. C’est le premier véritable album des Cure en tant que groupe, chaque musicien ayant participé de manière active à son élaboration. Il a été enregistré dans le midi de la France, au studio Miraval. Autre preuve de leur attachement à notre pays, le générique composé en 86 pour l'émission de télévision "Les Enfants du Rock” que l’on retrouve ici dans une version chantée, “Just like heaven”.
-Just like heaven-

Les Cure ont déjà derrière eux dix années de carrière, un parcours retracé officiellement dans un livre intitulé "Ten Imaginary Years".
Le 13 août 88, à l’issue d’une cérémonie simple et traditionnelle, loin des excès du rock’n’roll, Robert Smith épouse enfin Mary Poole, sa fidèle amie qu’il fréquente depuis l’âge de quatorze ans.
Le 21 avril 89, il fête ses trente ans avec un nouvel album, “DISINTEGRATION”, qui marque le retour aux climats lourds et oppressants que le groupe avait délaissés dans ses derniers enregistrements. C'est encore une création collective : tous les musiciens ont participé à l’élaboration des musiques, Robert Smith se chargeant seul d’écrire les textes. “Disintegration” est un énorme succès aux Etats-Unis - leur premier dans ce pays - et il reste pendant tout l’été dans le Top Ten. “Lovesong”, le single américain, se classe N°2.
-Lovesong-

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Coupure actualités ..
"80000 boites de Couscous Garbit sont rappellées par William Saurin car elles risquent d'exploser à leurs ouvertures !"
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-Catch-
Sorti au printemps 1989, "Disintegration" a permis à Cure de s'imposer enfin aux Etats-Unis. Tout parait alors leur sourire : l'album connaît un succès exceptionnel, de même que la tournée qui l'accompagne, l'impressionnant "Prayer Tour", qui draine les foules en Europe et aux Etats-Unis.
Il y a pourtant une ombre au tableau : l'absence de Lol Tolhurst. On imagine ce départ de l’ami d’enfance de Robert Smith comme une séparation douloureuse. Mais pour Robert, c’est en réalité un soulagement, tant l’attitude négative de Lol semblait compromettre l’avenir du groupe. Lol Tolhurst s’en va former un clone maladroit des Cure, Presence, avant de se lancer dans un procès tout aussi maladroit contre Robert Smith.
-Lullaby-

La tournée américaine de Cure s’achève difficilement. Robert Smith est fatigué et répète à qui veut l’entendre qu’on ne le reverra plus sur une scène. On pense encore une fois à la séparation, mais c’est pourtant bien les Cure qui reviennent en octobre 90 avec “MIXED UP”, une compilation de dix de leurs classiques, soit remixés à partir des originaux, soit carrément réenregistrés pour l'occasion. La majorité des morceaux ont été retravaillés par Robert Smith lui-même, mais on remarque aussi la signature de quelques maîtres du genre, comme François Kevorkian et William Orbit. “Mixed up” est complété par un inédit, le single “Never enough”.
-Never Enough-

Forts de leur succès planétaire, les Cure sont élus meilleur groupe britannique pour l’année 1991 lors de la cérémonie des BRIT Awards, l’équivalent anglais des Victoires de la Musique. C’est à ce moment que l’on peut découvrir “ENTREAT”, un CD "live" de huit titres mis en vente au bénéfice d’une association pour les enfants handicapés mentaux, Mencap. Sorti pour une durée limitée, c’est devenu une pièce de collection.
Début 92, la vidéo “The Cure play out” permet de découvrir quatre chansons de leur tout nouvel album, “WISH”, qui paraît en avril. La guitare y tient une place prépondérante et l’ensemble parvient à sonner “live” malgré six mois passés en studio. En tout, vingt-cinq chansons ont été enregistrées et les titres restés inédits seront distillés à raison de deux ou trois par single. En terme commercial, “Wish” réalise un véritable carton : l'album est N°1 en Angleterre, N°2 aux Etats-Unis.
-Friday I'm in love-

Les Cure enchaînent avec une grande tournée mondiale qui donne naissance à deux albums “live” : le premier, baptisé “SHOW”, est double ; il a été enregistré au Palace, à Auburn Hills, dans le Michigan. Le second est simple ; il s’appelle “PARIS”, et provient des concerts donnés au Zénith de Paris en octobre 92. En tout, cela représente deux heures et demie de musique, trente titres - tous différents - que Robert Smith conseille d’écouter “très fort”.
-Charlotte Sometimes-

En octobre 94, Robert Smith gagne le procès qui l’opposait à Lol Tolhurst. En 86, par amitié, Robert avait gardé Lol au sein des Cure, malgré ses problèmes d’alcool et contre l’avis des autres membres du groupe. Mais il avait révisé sa part de droits d'auteur à la baisse et c’est ce que l’ancien clavier des Cure avait décidé de contester en 89, après son éviction définitive du groupe. Lol a perdu. Il devra payer un million de Livres Sterling en dédommagement, et Robert se déclare “très, très content” avant d’aller disputer une partie de tennis avec sa femme Mary pour fêter sa victoire. Robert Smith avait mal vécu ce procès : son moral et son inspiration étaient au plus bas, et il avait préféré remettre à plus tard l’enregistrement d’un nouvel album.
En juin 95, les Cure refont surface au festival de Glastonbury, en Angleterre, et dans la foulée, ils participent à une série de concerts en plein air en Europe. Leur retour se concrétise en mai 96 avec la sortie de l’album, “WILD MOOD SWINGS”.
-The 13th-

Pour Robert Smith, l’enregistrement de “Wild mood swings” a eu quelque chose d'obsessionnel. Avec les Cure, il a parfois passé des jours entiers à régler un son de batterie ou à rejouer jusqu’à la nausée une même phrase musicale. Ce souci maniaque du détail a bien évidemment tué toute spontanéité en même temps qu'il transformait en galère la réalisation de l’album.
Pour ses nouveaux enregistrements, Robert Smith a décidé de revoir ses méthodes. Il s’est retranché dans son studio personnel où il a travaillé vite et souvent sans le groupe. Le premier résultat de cette approche repensée, c’est “Wrong number”, un titre enregistré en petit comité, avec seulement le batteur Jason Cooper et Reeves Gabrels, le guitariste de David Bowie.
-Wrong Number-

"Wrong number" est l'unique inédit sur la compilation "GALORE – THE SINGLES", qui parait fin 97 et qui reprend l'histoire des Cure là où "Staring at the sea" l'avait laissée. On y trouve les dix-sept singles que le groupe a publiés entre 87 et 97, avec certains points de passage obligés, leurs plus grandes réussites dans les hits-parades : "Lullaby", "High", "Friday I'm in love" et "Why can't I be you".
-Why can't I be you-

Début 98, Robert Smith enregistre "A sign from God" pour la bande originale du film "ORGAZMO". Ce n'est pas la première fois que les Cure s'adonnent à ce genre de discipline. En 94, ils avaient composé "Burn" pour le film "THE CROW", puis, l'année suivante, "Dredd Song" pour la bande originale de "JUDGE DREDD". Ils figurent aussi au générique de l'album "X-FILES" avec le titre "More than this".
Habituellement, les Cure n'interprètent que leurs propres compositions, mais il a quelques exceptions. Parmi les reprises qu'ils ont enregistrées, il faut citer "Hello, I love you" des Doors, "Purple Haze" de Jimi Hendrix, "Young americans" de David Bowie et "World in my eyes" de Depeche Mode.
Annoncé par le single "Out of this world", le nouvel album des Cure, "BLOODFLOWERS", paraît en février 2000. Il marque l'entrée du groupe dans sa troisième décennie, un groupe qui apparaît stabilisé autour de Robert Smith, avec Simon Gallup, Perry Bamonte, Roger O'Donnell et Jason Cooper. "Bloodflowers" est un disque marqué à la fois par la nostalgie, l'introspection, mais aussi la violence et le désespoir.
-Out of this world-

Après la sortie de "Bloodflowers", Robert Smith avait évoqué la possibilité pour les Cure de se sépa rer, afin que chacun des musiciens puisse suivre son propre chemin. Il n'en est rien, puisque le groupe continue de travailler en tant que tel et qu'il propose un "GREATEST HITS" en novembre 2001. On y trouve seize incontournables, ainsi que deux inédits : "Just say yes" et "Cut here".
En édition limitée, le "GREATEST HITS" de Cure est accompagné d'un CD bonus où l'on peut retrouver ces mêmes dix-huit titres, mais dans des versions électro-acoustiques qui ont été enregistrées l'été précédent à Londres sous la direction de Mark Plati, et avec Boris Williams aux percussions.
-Cut here-

Leur contrat avec Fiction étant arrivé à son terme, les Cure signent pour trois albums avec I AM Recordings, le label de Ross Robinson, le producteur de Korn et de Limp Bizkit.
En janvier 2004, leur ancien label propose le coffret "JOIN THE DOTS : B-SIDES & RARITIES 1978-2001 (THE FICTION YEARS)". Sur quatre CD's, on trouve soixante-dix titres qui ont été remastérisés et compilés par Robert Smith : vingt-cinq d'entre eux sont disponibles pour la première fois en CD et dix sont proposés dans des versions inédites.
En avril 2004, les Cure enregistrent "Dragon Hunters Theme", le thème principal du film d'animation "Chasseurs de Dragons". Deux mois plus tard, ils publient un nouvel album studio qui s'appelle tout simplement "THE CURE" et reflète parfois les influences heavy metal du producteur Ross Robinson.
-The end of the world

En 2005, Perry Bamonte et Roger O'Donnell quittent les Cure. Porl Thompson revient pour la troisième fois. La nouvelle formation, qui comprend donc Robert Smith, Simon Gallup, Jason Cooper et Porl Thompson, fait ses débuts à l'occasion du Live 8, le 2 juillet 2005, sur l'esplanade du Château de Versailles.
En 2006, Sofia Coppola choisit deux de leurs titres, "Plainsong" et "All cats are grey", pour les inclure dans la bande originale de son film "Marie-Antoinette."
C'est en avril 2006 que les Cure commencent à enregistrer de nouveaux titres. Trente-trois sont mis en boîte et le groupe envisage alors de publier un double CD. Finalement, ils se ravisent et choisissent de publier un CD simple, "4:13 DREAM", pour lequel ils n'ont gardé que les titres les plus enlevés. Les autres, qui sont plutôt des morceaux d'ambiance, devraient donner lieu à un prochain album.
"4:13 DREAM" est le treizième album studio des Cure qui ont bouclé le 21 juin dernier une importante tournée américaine, après être passés par la France en mars de cette année.
-The hungry ghost-

Voilà, c'est ce que Georges Lang a dit au mot près.
C'était bien.
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[azerty]

Un PODCAST ou MP3
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[billouparis]

Manon! Merci pour cette retranscription, c'est un boulot de fou(folle)!
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Bill

Il y a des chances que rien n'bouge.

[Fabien G]

je confirme, elle est folle!

[SeatNumber]

MANON

J'en reste sans voix!!

mais MERCI
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Decalage-horaire@shuttle.Oscar

[minihead]

Sympa Manon
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"The night is always young"

[Gromoko]

Big Up pour Manon !
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« Feel free to share, remaster, remix, sample, reverse it and check for Satanic messages, or whatever else you want to do with this recording... just don't sell it.»

[Aurelia_]

Chapeau miss , tu mériterais un kinder

[miroku]

Merci Manon et bravo pour le boulot accompli qui en aurait découragé plus d'un.
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come closer and i'll whisper ...

[Robert de terre]

Je ne pas raté gd chose, c'est juste une m.a.j. des anciennes sagas.
J'ai encore sur k7 celle diffusée pour Bloodflowers, et le texte de Lang est identique.

Merci pour ta transcription Manon

[tony]

merci manon mais t'aurais pu juste poster le lien de la retranscription...

http://www.rtl.fr/fiche/2418762/la-saga-the-cure.html

oui je sais les CPE sont cruels

[Manon_Sometimes]

Oui Môsier, j'aurais pu.
Mais j'ai quand même tout retranscrit à la main (enfin, au clavier) hier soir, parce que j'avais rien d'autre à faire et que j'étais alone sur APD.

<img src="http://farm4.static.flickr.com/3042/3015163719_05342655ba.jpg" width="500" height="299" alt="RTL">

Mais après, j'ai vu que ce que le bonhomme avait dit, c'était ce qui était écrit sur leur site, au mot près.
J'ai donc préféré mettre leur texte plutôt que le mien qui était rempli de plein d'abréviations toutes moches. 'oilà.

Je hais les CPE.
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[kami]

bravo et grand merci à toi miss

[tony]

c'est bien les élèves ça...ça copie sur son voisin et après ça critique le CPE qui s'en rend compte !

[Manon_Sometimes]

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