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PHILOU? The Cure
Inscrit le: 24 Mai 2005 Messages: 16557
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Posté le: Sam Mar 06, 2010 18:47 Sujet du message: |
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Présentation de l'éditeur
Une Fiat 500. Au volant, Marc. A côté de lui, sa plus jolie étudiante. C'est la nuit, ils foncent chez lui finir la soirée en beauté. Au petit matin, son goût prononcé pour les jeunes élèves de son cours d'écriture va soudain lui passer. A cause des routes de montagne ? Du néo-conservatisme ambiant ? Des crises de sa soeur ? Ou plutôt du charme des femmes mariées ? Marc ne saurait dire. Du moins, pour le moment. |
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Elegy Disintegration
Inscrit le: 10 Mar 2006 Messages: 2975
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Posté le: Sam Mar 06, 2010 19:55 Sujet du message: |
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Citation: | Le narrateur discute avec son vieil ami Erskine qui lui raconte l’histoire d’un de ses compagnons de jeunesse, Cyril Graham, convaincu d’avoir percé le mystère de l’identité de Mr. W.H. Selon lui, il s’agirait d’un jeune acteur qui jouait les rôles féminins comme c’était la règle dans le théâtre élisabéthain, et dont Shakespeare était follement amoureux. Mais Cyril Graham décède avant d’avoir pu récolter toutes les preuves pour soutenir sa thèse. Intrigué par cette histoire, le narrateur va à son tour se plonger dans ces Sonnets pour tenter d’en découvrir la clé.
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_________________ You're just like a dream ... |
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Lacrymocratie Paris
Inscrit le: 11 Aoû 2004 Messages: 5752
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Posté le: Sam Avr 17, 2010 22:17 Sujet du message: |
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Marat/Jean Massin |
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jenny Disintegration
Inscrit le: 12 Mai 2004 Messages: 2601
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Posté le: Mer Avr 28, 2010 06:53 Sujet du message: |
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sly a écrit: | & mourir dans l'oubli comme un requin dans l'onde de Steven Hall (à noter que le titre français est tiré de La Mort Joyeuse de Baudelaire et que le titre original fait référence aux tâches de Rorschach)
Si vous avez aimez la Maison des Feuilles...
si vous aimez : la science-fiction, le romantisme (je parle pas de Twilight, hein !), les calligrammes, Baudelaire, Dune, Les dents de la mer, la philosophie, la linguistique, la cryptozoologie, les codes, Mono... |
voila, je m'y suis mise.
je suis bientot a la fin, je n'aurais pas utilisé les memes comparatifs, et je pense que c'est un des livres les plus étranges que j'ai lu, mais j'adore!
je dévore!
et ca fesait bien longtemps que ce n'etait pas arrivé!
je vous le conseille donc vivement! _________________ donnez moi de nouvelles données |
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FlyTox Paris
Inscrit le: 31 Mai 2004 Messages: 5819
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Posté le: Mer Avr 28, 2010 20:35 Sujet du message: |
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un vieux San Antonio... ça détend... _________________ ...
là.
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Elegy Disintegration
Inscrit le: 10 Mar 2006 Messages: 2975
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Posté le: Dim Mai 02, 2010 08:40 Sujet du message: |
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Citation: | Un matin de février 1960 à Milan, l'honorable architecte Antonio Dorigo prie Mme Ermelina de lui organiser un rendez-vous. A cinquante ans, son éducation bourgeoise lui vaut d'appréhender les femmes comme des êtres étranges et indéchiffrables. Les très jeunes pensionnaires de Mme Ermelina, il s'en arrange. Pourquoi, cet après-midi-là, la belle Laîde, prostituée, danseuse et fieffée menteuse, l'émeut-elle au plus profond de lui-même? Son extrême jeunesse, sa féminité, ses caprices, sa simplicité populaire, son effronterie, son mystère le bouleversent. Que peut un bourgeois milanais de cinquante ans, enfermé dans la respectabilité de sa classe, devant l'insolence de cette liberté? Souffrir à coup sûr, ce que l'architecte s'emploie à faire avec ardeur, payer bien entendu, être lâche, se fâcher, suffoquer, retrouver son souffle dès qu'apparaît «la petite putain goguenarde qui n'éprouve pas l'ombre d'un sentiment pour lui». Son obsession se fait plus violente que jamais lorsqu'il croit s'en être libéré.
Heure par heure, mensonge après mensonge, Dino Buzzati retrace par le menu les étapes de cette marche infernale vers l'autodestruction. Un calvaire, qui trouvera un dénouement inattendu lorsque, rendu à lui-même, Antonio découvrira qu'il n'avait jamais été aussi vivant que pendant ses souffrances, et que les affres de cet amour pathétique avaient chassé pour un temps sa hantise de la mort.
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_________________ You're just like a dream ... |
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Armelito Standing on the Beach
Inscrit le: 18 Juil 2004 Messages: 1593
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Posté le: Mar Mai 04, 2010 13:58 Sujet du message: |
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Elegy a écrit: | Citation: | Un matin de février 1960 à Milan, l'honorable architecte Antonio Dorigo prie Mme Ermelina de lui organiser un rendez-vous. A cinquante ans, son éducation bourgeoise lui vaut d'appréhender les femmes comme des êtres étranges et indéchiffrables. Les très jeunes pensionnaires de Mme Ermelina, il s'en arrange. Pourquoi, cet après-midi-là, la belle Laîde, prostituée, danseuse et fieffée menteuse, l'émeut-elle au plus profond de lui-même? Son extrême jeunesse, sa féminité, ses caprices, sa simplicité populaire, son effronterie, son mystère le bouleversent. Que peut un bourgeois milanais de cinquante ans, enfermé dans la respectabilité de sa classe, devant l'insolence de cette liberté? Souffrir à coup sûr, ce que l'architecte s'emploie à faire avec ardeur, payer bien entendu, être lâche, se fâcher, suffoquer, retrouver son souffle dès qu'apparaît «la petite putain goguenarde qui n'éprouve pas l'ombre d'un sentiment pour lui». Son obsession se fait plus violente que jamais lorsqu'il croit s'en être libéré.
Heure par heure, mensonge après mensonge, Dino Buzzati retrace par le menu les étapes de cette marche infernale vers l'autodestruction. Un calvaire, qui trouvera un dénouement inattendu lorsque, rendu à lui-même, Antonio découvrira qu'il n'avait jamais été aussi vivant que pendant ses souffrances, et que les affres de cet amour pathétique avaient chassé pour un temps sa hantise de la mort.
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Un grand auteur comique ce Dino Buzzati . J'ai beaucoup aimé le "désert des tartares", ce type qui garde une forteresse dans un désert en attendant qu'un ennemi apparaisse à l'horizon pour donner un sens à sa vie. "Personne ne regarde, personne ne vous dira bravo à la fin"
C'est déprimant au premier abord et finalement on en sort plus vivant, comme avec Cure |
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Gone! Greatest Hits
Inscrit le: 01 Jan 2007 Messages: 9239 Localisation: Nord de la France
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Posté le: Mer Mai 05, 2010 12:18 Sujet du message: |
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Хорошо
Je me fais l'intégrale de cet auteur, j'aime beaucoup. _________________ I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same |
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Fabien G Disintegration
Inscrit le: 28 Jan 2008 Messages: 2860
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Posté le: Jeu Sep 02, 2010 09:51 Sujet du message: |
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Je commence Les Versets Sataniques. fin du premier chapitre. Je ne sais pas trop encore quoi en penser. |
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Gone! Greatest Hits
Inscrit le: 01 Jan 2007 Messages: 9239 Localisation: Nord de la France
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Posté le: Jeu Sep 02, 2010 11:54 Sujet du message: |
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Après >Stalingrad,
_________________ I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same |
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TOBERR Administrateur
Inscrit le: 21 Avr 2004 Messages: 12059 Localisation: Paris
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Posté le: Ven Sep 10, 2010 17:48 Sujet du message: |
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_________________
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jenny Disintegration
Inscrit le: 12 Mai 2004 Messages: 2601
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Posté le: Ven Sep 10, 2010 18:53 Sujet du message: |
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decidement un de mes auteurs préféré _________________ donnez moi de nouvelles données |
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jenny Disintegration
Inscrit le: 12 Mai 2004 Messages: 2601
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Posté le: Ven Sep 10, 2010 18:54 Sujet du message: |
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B4 three a écrit: |
Хорошо
Je me fais l'intégrale de cet auteur, j'aime beaucoup. |
en terme de logique russe, as tu deja essayé les kourkov?
le dernier amour du president est tres chouette! _________________ donnez moi de nouvelles données |
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Gone! Greatest Hits
Inscrit le: 01 Jan 2007 Messages: 9239 Localisation: Nord de la France
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Posté le: Sam Sep 11, 2010 19:46 Sujet du message: |
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J'essaierai tiens ! _________________ I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same |
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Sophie Pornography
Inscrit le: 02 Aoû 2005 Messages: 232 Localisation: Paris
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Posté le: Lun Oct 11, 2010 16:22 Sujet du message: |
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Biographie romancée de la poétesse américaine Sylvia Plath et du poète anglais Ted Hughes.
Pas fan des bio. romancées en général mais là, bravo!
Chaque chapitre, court et percutant, correspond à l'une des multiples voix qui témoignent de la vie des 2 auteurs.
Une bio. à la fois géologique et psychique (S. Plath souffrait de trouble bi-polaire et de névrose maniaco-dépressive qui la conduisirent finalement au suicide).
Une plongée dans la vie de ces 2 poètes et dans leur univers poétique: bestiaire onirique, assoiffé et puissant.
Ca faisait un bail que je ne m'étais pas autant enthousiasmée pour un bouquin! |
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jenny Disintegration
Inscrit le: 12 Mai 2004 Messages: 2601
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Posté le: Lun Oct 11, 2010 17:13 Sujet du message: |
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Marc Levy
Le premier jour, et la première nuit.
Pas pu les lacher avant la dernière page.
Pas de la grande littérature, mais de chouettes bouquins! _________________ donnez moi de nouvelles données |
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Gone! Greatest Hits
Inscrit le: 01 Jan 2007 Messages: 9239 Localisation: Nord de la France
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Posté le: Lun Oct 11, 2010 18:24 Sujet du message: |
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Au coeur de l'action, vraiment prenant, pas de propagande, juste la description de la pire bataille de la 2nde guerre mondiale.
Les bouquins d'Anthony Beevor (ici il situe les évènements entre les récits du reporter russe Grossman) sont très intéressants. _________________ I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same |
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Sophie Pornography
Inscrit le: 02 Aoû 2005 Messages: 232 Localisation: Paris
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Posté le: Jeu Oct 14, 2010 13:31 Sujet du message: |
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Très bonne série BD !
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Sophie Pornography
Inscrit le: 02 Aoû 2005 Messages: 232 Localisation: Paris
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Posté le: Jeu Oct 28, 2010 15:36 Sujet du message: |
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Mot de l'éditeur:
"Que dire d’une œuvre si ample qu’elle échappe aux catégories littéraires ? Les Jardins statuaires, c’est à la fois une fable, un roman d’aventure,
un récit de voyage, un conte philosophique.
A une époque indéterminée, un voyageur découvre le pays des « Jardins statuaires » : un ensemble de domaines, protégés par de vastes enceintes, où la principale activité des hommes consiste à cultiver des statues. Dans ces propriétés où la pierre pousse sans cesse, la vie est réglée d’après une organisation rigoureuse, apparemment ludique et rationnelle, mais aux fondements étranges.
Au fil des pérégrinations du voyageur, l’utopie se lézarde : la place des femmes,
le pouvoir occulte d’une mystérieuse guide des hôteliers, les statues qui maigrissent
ou croissent indéfiniment posent des questions angoissantes. Enfin, la menace de Barbares qui se rassemblent aux frontières et préparent l’invasion des jardins statuaires va achever de déséquilibrer cette société.
Jacques Abeille a créé une œuvre qui rejoint celles de Mervyn Peake,
de Julien Gracq, de Tolkien, mais dont le destin dessine une
légende noire : tapuscrit égaré, faillites d’éditeurs, incendies
et malchances ont concouru pendant trente ans à l’occultation
de ce roman sans équivalent dans la littérature française.
La suite, inédite, des Jardins statuaires paraîtra aux éditions Attila
l’année prochaine." |
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Lacrymocratie Paris
Inscrit le: 11 Aoû 2004 Messages: 5752
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