Football: Saison 2010 / 2011

[Gone!]

D'ailleurs quand se décideront ils à stopper cette coupe qui passionne personne ?

[TOBERR]

Je vois pas comment Taiwo sera sanctionné alors que les supporters de son équipe caillassent les bus de leurs adversaires (supporters comme équipe), cassent tout sur les aires d'autoroute quand ils sont en déplacement et continuent d'agir au su et au vu de la LFP en toute impunité ( et ce depuis de très longues années)... Alors ok, on va encore me sortir que les parisiens font pas mieux, que les bordelais ont aussi caillassé un bus de supporter marseillais à Bordeaux etc, etc....effectivement...mais il s'est passé quoi à Paris cette année?? A quand la même chose à Marseille??
Pour Taïwo, il aura au pire 2 matches de suspension et puis..???
Taïwo et Diawara sont les 2 cerveaux de la L1... On le sait bien..


Pour la coupe de la Ligue, effectivement c'est une coupe en bois..mais c'est toujours bien de la gagner...ça donne énormément de confiance pour finir une saison..et ça ne m'étonnerait pas que l'OM passe devant Lille...

Après, si tu passes 10 ans à la descendre alors que tu ne la gagnes pas, faut pas faire le beau le jour où tu la gagnes...Mais bon...c'est une autre histoire..
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[Gone!]

Ferais jamais le beau même si on la gagnait.
Bon le rush continue on a perdu qq plumes à Lorient, tenaces.

[Lostever]

Quelle ignominie d'entendre un joueur chantant un chant ( de mauvais gout ) de supporter !!!
Beaucoup moins fin efectivement que certains propos d'un certain Llacer criant au et fort que le PSG etait evidemment pour les adversaires européens lors d'un match de CL et que les Marseillais devaient rester sur le VIeux Port a joeur à la belote et siroter des jaunes car ils sont bcp plus fort dans ce domaine que sur un terrain de foot ...
L'animosité PSG-OM c'est du folklore maintenant ! c loin le temps où les 22 protagonistes jouaient poru défendre les couleurs de leur maillot et non pas le montant de leurs primes ...

Perso rien à battre que Taiwo n'est pas le QI d'un chercheur au CNRS, il a tenu tres bien son poste toutes ces années et sort par la grande porte avec la coupe ss le bras et surement des precieux points pour la course au titre.
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The further we go
And older we grow
The more we know
The less we show

[Ivlo Dark]

[Lostever]

Je persiste et signe : c rien de plus que du folklore.
Cette pseudo rivalité a été monté de tte pièce par les presidents des 2 clubs ss l'ère tapie : ça arrangeait tt le monde car ça fait vendre ( Merci à Canal + au passage) .
Moi aussi je sers la main de mon adversaire à la fin du match de tennis et ? C un signe d'estime ? Perso je ne le pense pas , je fais pas une haie d'honneur comme au rugby (là on a un vrai fairplay)
Plus que lorsque les joueurs de foot se serrent la main en début de match ? non.
Faut pas tout mélanger . T'as un type qui communique trés maladroitement avec des supporters qu'il a cotoyé pdt 4 ans, il se barre du club et il "partage" ce chant avec eux. C un "goodbye" assez de mauvais gout ok mais je vois pas l'escalade que tu cites en parlant de chant pétainiste ...

C encore un pet de mouche qu'on av s'empresser de monter en neige !
A choisir , je prefere des gros cons insultant un autre groupe de supporters de manière impersonnelle à des propos xenophobes, homophobes et antisémites . Y a qd même certains niveaux dans la connerie alors c pas parce que c estampillé OM que c le pire.
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The further we go
And older we grow
The more we know
The less we show

[Lacrymocratie]

Y a avait un beau reportage dimanche dans Stade 2

En gros ,ca disait que historiquement le Real c'était l'ordre et la réaction et Barca la liberté.

[Ivlo Dark]

C'est certain que le clasico, le vrai ... pas un ersatz de pacotille inventé par un média franco-français en mal de frisson ... (pour abonder dans le sens de Lostever ) c'est autre chose que du folklore à 2 balles !

J'avoue me régaler quand j'entends les coachs du Real et Barça tels deux boxers qui se lancent des subtiles banderilles d'avant match...
Tout comme j'aime Aulas quand il chambre les stéphanois pourtant vainqueurs d'un vrai et chaud derby histoire de leur faire comprendre que la C1 ils pourront la jouer sur playstation !
Idem quand Claude Bez défilait sur la canebière en Cadillac ...
De la provoc' dans le show qu'est le foot.

Si un mec comme Taiwo avait une once d'intelligence il saurai user de celle-ci pour chambrer l'adversaire ...
Chacun son niveau, chacun son talent.
Si on se délecte des "ho ! hiss ! ENCULLLLLé" qui saluent le dégagement du gardien adverse alors c'est certain qu'on doit adorer la contribution de joueur tel Taiwo au folklore dont se nourrissent les parisiens et marseillais ... quelle pitié !

Enfin bon vivement ce soir: Que l'OL gagne (contrairement à l'OM) et que le barça et le Real nous fassent rêver

[TOBERR]

Le clasico n'a pas été inventé par les médias mais par Tapie dans les années 90. Tapie ne pouvant plus faire le beau avec Bez dans les médias (Bordeaux ne dominant plus avec l'OM le foot français), il trouva un nouvel adversaire pour faire le fanfaron....Canal a ensuite pris le relais.

Pour le clasico de ce soir, je pense que ce sera un match fermé....Mourinho nous faisant chier avec son système défensif et Barcelone enchainant les petites passes pour au final butter sur la défense madrilène...

Je reviens justement de Madrid...ceux qui critiquent le foot français, ses arbitres, ses équipes et son public devraient aller faire un stage là bas (en Angleterre aussi d'ailleurs)...ils verraient que ce que l'on voit dans l'Equipe du dimanche sur C+ ne reflète pas forcement la vérité
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[Lacrymocratie]

La liberté finit toujours par l'emporter

[Ivlo Dark]

[Lacrymocratie]

Real Madrid - FC Barcelone, c’est le match de football qui enflamme la planète. Mais c'est aussi et surtout une rivalité ancrée dans l’histoire contemporaine espagnole. Décryptage par Pascal Boniface, directeur de l’IRIS et spécialiste de la géopolitique du sport.


"Historiquement, le Real Madrid a été le club de Franco, le FC Barcelone, celui de la résistance. Quand les troupes franquistes sont arrivées à Barcelone en 1936, on dit qu’elles avaient quatre objectifs : la Generalidad (ndlr : le gouvernement catalan), les syndicats, la fédération anarchiste et le club de Barcelone… Sous Franco, le Barça a plusieurs fois été lésé par rapport au Real. C’était le régionalisme autonomiste catalan contre la capitale, qui représentant le pouvoir central répressif et d’extrême droite. Barcelone lui faisait face avec une population autonome, anarchisante, syndicaliste et d’opposition en quelque sorte."

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«Etre un "socio" du Barça, c’est avoir un passeport catalan»

Editeur, chroniqueur au journal El Pais, Enrique Murillo a écrit, en 2006, le Nouveau Barça, dans lequel il décrit la «renaissance» du FC Barcelone, coïncidant avec l’arrivée à la présidence, en 2003 de Joan Laporta.
Entretien à deux jours de la finale de la Ligue des champions que dispute le club catalan face à Manchester United.

Le doublé Liga-Coupe du roi. Peut-être le triplé avec la Ligue des champions, ce qu’aucun club espagnol n’a jamais obtenu… C’est l’euphorie à Barcelone, non ?

Oui, il faut voir les célébrations autour de la fontaine de Canaletes ! Une sorte de communion autour des triomphes bien sûr, mais aussi autour d’une certaine idée du football. Un football total, hérité du mythique Ajax d’Amsterdam de Johan Cruijff. L’ironie, c’est que l’été dernier, le club était plongé en pleine crise : le départ de la moitié de l’équipe dirigeante, opposée au style trop personnaliste de Joan Laporta ; la Liga gagnée par le Real Madrid ; les kilos en trop de Ronaldinho et la suffisance des stars… Finalement, pour rehausser son prestige, le très catalaniste [nationaliste catalan, ndlr] Laporta a eu l’intelligence de choisir comme entraîneur Pep Guardiola, 37 ans, un symbole du barcelonisme. Quelqu’un qui fut ramasseur de ballons à 8 ans, qui a joué dans toutes les catégories d’âges du club, qui fut aussi la clé de voûte de la dream team qu’entraînait Cruijff.

Qu’est-ce que le barcelonisme, exactement ?

Un lien singulier entre une région et un club. Dans le reste de l’Espagne, la relation s’établit surtout par rapport à une ville. Ici, c’est une osmose entre le Barça et toute la Catalogne. Mais, pour emporter l’adhésion, l’équipe doit impérativement accompagner les victoires de panache, d’élégance, de style. Cette exigence de beauté, c’est l’essence du barcelonisme. En 1998, le Barça de Louis Van Gaal avait obtenu le doublé championnat-Coupe du Roi mais en jouant mal. Résultat : des milliers de socios grondaient dans le Camp Nou. Ici, il faut gagner et bien jouer à la fois : gagner avec le sens de l’honneur. Nous n’aimons pas les victoires indignes. Il nous faut vaincre en attaquant, c’est un peu suicidaire quand on y pense.

On dit que le Barça, c’est «més que un club» : plus qu’un simple club. Pourquoi ?

Pour comprendre ce lien quasi-spirituel entre les Catalans et le Barça, il faut remonter à la guerre civile. La Catalogne est un haut lieu de résistance anarchiste et républicaine. Avec la victoire de Franco, elle se sent vaincue, humiliée. Or, pendant la dictature, le caudillo n’ose pas interdire le Barça, qui devient un symbole de résistance nationaliste face à l’oppression. Dans les années 60, j’ai connu plein de Catalans se cognant six ou sept heures de bus en une journée pour se rendre au Camp Nou. Ils y allaient pour le football, mais aussi pour accomplir un rituel revendicatif. Ce puissant sentiment d’appartenance explique que le nombre de socios[supporteurs officiels, qui élisent le président du club] est l’un des plus élevés au monde [l’an dernier, le club en revendiquait plus de 160 000].

La donne n’a-t-elle pas changé avec l’avènement de la démocratie ?

Ça a changé politiquement, mais pas sentimentalement. Etre un socio du Barça, cela revient à porter sur soi un passeport catalan. Dans les gradins, d’ailleurs, les drapeaux catalans et les slogans indépendantistes ne manquent pas. A partir des années 80, je dirais que la rivalité avec Madrid a augmenté. Ce n’est plus la capitale franquiste qui irrite, mais celle où affluent les multinationales et les gros investissements de l’Etat. Pendant ce temps, malgré les JO, Barcelone - qui avait toujours été la locomotive du pays - a connu un lent déclin. Cela a renforcé le ressentiment contre la capitale. Dans les années 50, le grand rival était l’Espanyol, l’autre club de Barcelone. Aujourd’hui, c’est plus que jamais le Real Madrid.

Le Barça représente toujours un ciment identitaire ?

Plus que jamais. D’autant que le Barça aujourd’hui séduit des immigrants qui résident en Catalogne, des Marocains, des Pakistanais et surtout des latino-américains. Et les socios préféreront toujours les joueurs formés au club, peu importe d’où ils viennent. Xavi et Puyol sont catalans, Iniesta est castillan et Messi argentin. Mais tous ont grandi à la Masia, le centre de formation. Ici, selon une idée très bourgeoise, l’individu doit être pris en charge, protégé. Quand Messi est arrivé à 14 ans, le club a fait venir toute sa famille. Moi qui suis supporteur, je vous avoue que si le Real Madrid nous enlevait Messi, je les haïrais à vie.

[Gone!]

[Lacrymocratie]

Si c 'est vrai, c 'est du très lourd !

[Gone!]

Ils feront moins le malin les bleus sans "leurs arabes et leurs noirs"
c'est plus que scandaleux.

[Ivlo Dark]

...

léo à illuminer de son génie le piètre match aller

...

abidal à illuminer de sa seule présence un retour joué d'avance

[Ivlo Dark]

...

j'ai bien aimé la petite anecdote de Dugarry à l'encontre de Lilian "père la morale" Thuram

Aujourd'hui en France on ne peut plus parler de sujets impliquants des catégories de personnes dites sensibles sans que la meute d'asso ou de pseudo bien-pensants ne rappliquent ... il y a comme une suspiscion de racisme qui plane ici et là qui me rappelle les heures sombres de notre Histoire ... Idem pour l'affaire Zémour: Malek Bouthi affirme la même chose mais personne chez SOS racisme ne crie au scandale ... étonnant non ??? (Desproges si tu nous regardes)
Et pendant ce temps là, sous couvert de l'exception culturelle, des Mc déballent leur fiel dans des paroles hautement condamnables !
Cherchez l'erreur.

Maintenant Laurent Blanc (quelle idée aussi d'avoir un tel patronyme)
qui pointe du doigt le risque pour la FFF de voir des binationaux vaciller entre deux options: Soit porter le maillot des bleus soit celui de leur nation d'origine ... En quoi ceci pose difficulté ? En quoi la définition du racisme interviendrai ?
pour mémoire la définition:
Théorie selon laquelle certaines races seraient supérieures aux autres
Dans les propos volés (bravo pour le procédé !) je n'ai entendu aucune allusion de sa part pouvant conforter ceci.

De toute manière, les quotas ne sont jamais une bonne chose ... idem pour le problème homme/femme dans les C.A (on ferai mieux de mettre les salaires à égaliter pour poste similaire)

C'est trop facile de traiter untel ou untel de facho ou de raciste ... procédé honteux j'en veux pour preuvre ... Ici au taff je rejette hier un dossier au même titre qu'un autre pour irrégularité juridique, le type au téléphone m'insulte me traitant limite de nazi sous prétexte que de part sa nationalité (turque) j'avais fait exprès de rejetter son dossier ...


après il ne faudra pas s'attendre à une montée du populisme et la montée des idées du borgne et de sa fille

[doczaius]

de toutes façons, aujourd'hui, si t'es VIP, politique ou autre.... rien que le fait de pisser sans relever la cuvette te vaudra une floppée de Manchette publiées par des personnage peut scrupuleux, juste pour faire un gros coup mediatique, et Bien entendu, compter sur tout les sans cervelles qui vont relayer ces infos, en s'indignant.... "kwaaaaa Laurent Blanc pisse sans relever la cuvette... mais quel scandale.... c'est indigne de l'image de la france...."


Bref.... tout ça pour dire Ivlo que je suis plutot d'accord avec toi....

[Lacrymocratie]

Désolé de penser par procuration




Le racisme ordinaire : ses dits et non-dits


Pour Jeanne Favret-Saada, anthropologue, le verbatim de la réunion officielle de la DTN, le 8 novembre 2010, publié par Mediapart, «met en évidence la variété des manières de tenir des propos racistes et de prendre des décisions discriminatoires, parfois sans s’en rendre compte».

Il était important que Mediapart publie cette conversation entre dirigeants du foot sur l’intérêt ou non d’établir des quotas «raciaux». Chacun des participants s’y révèle raciste à sa manière, mais pour certains d’entre eux, pas plus que n’importe quel Français ou presque. En lisant avec attention le texte de cette réunion, on voit avant tout que les dirigeants du foot sont tenus pour responsables de quelque chose à quoi ils ne peuvent rien : l’état présent de l’équipe de France. Par contre, ils aimeraient bien contribuer à son renouveau, de quelque façon que ce soit. Mais ils font l’impasse sur les données générales du problème : la France, excellente formatrice de grands joueurs, mais trop pauvre pour les conserver même dans ses équipes les mieux dotées ; de ce fait, le football français, incapable d’entrer dans la grande concurrence internationale, sauf parfois lors de la Coupe du monde.

Du coup, ces dirigeants pensent le problème en le fractionnant en petits paquets, dont chacun est affecté d’une part de non-dit raciste, et dont l’ensemble est articulé par une glu mentale tout aussi raciste et muette.

1. Aujourd’hui, les gamins qui ont envie de jouer au foot viennent en majorité des «cités», les enfants bien insérés préférant d’autres sports. (Non-dit : la plupart de ces gamins sont peu disciplinés, violents, paresseux, égoïstes, voir la dernière Coupe du monde.)

2. Les candidats à la formation comportent donc beaucoup moins de «Blancs» que de «Blacks». (Non-dit : les Maghrébins sont comptés pour des «non-Blancs», sinon pour des « Blacks ». Il suffit d’ailleurs que ce soit dit pour que le locuteur recule).

3. Les plus doués de ces gamins sont sélectionnés pour apprendre le jeu de football, mais cela coûte cher à la Fédération et à l’Etat. (Non-dit : leur formation terminée, ils doivent quelque chose à la Fédération et à la France, mais rien n’est prévu pour les y contraindre. Or comme ils sont égoïstes... voir plus haut.)

4. Ces dernières années, la sélection a privilégié les joueurs grands et costauds, c’est-à-dire, les «Blacks». Ce n’est pas une vérité absolue (on a connu de petits Blacks ou de grands Blancs), mais une vérité statistique. Or une fois formés, devenus adultes, ceux qui ont une double nationalité préfèrent jouer la Coupe du monde dans l’équipe de leur pays d’origine.

A ce point, le locuteur s’est fourré dans une erreur caractérisée : les joueurs qui vont dans les équipes de leur pays d’origine n’ont jamais été sélectionnés dans l’équipe de France. Ceux qu’on retrouve en Algérie ou au Cameroun n’ont pas été sélectionnés dans l’équipe de France. Il ne s’agit donc pas d’une «trahison» : ces joueurs utilisent leur seule possibilité de participer à une Coupe du monde. Cette erreur, proprement raciste, est rendue possible par les non-dits précédents : puisque les «Blacks» sont peu disciplinés, violents, paresseux, égoïstes, pourquoi ne seraient-ils pas des traîtres ?

5. Pour des raisons d’efficacité technique, l’équipe de France devrait changer de critères de sélection et recruter des joueurs «petits et techniciens», et les recruteurs de minimes et juniors devraient en faire autant pour préparer l’avenir. (C’est là que survient le non-dit principal : les dirigeants veulent-ils changer les critères pour des raisons purement techniques ou pour des raisons de racisme ?)

A ce point, le débat des dirigeants devient absolument confus, les critères culturels refont surface, et, pour finir, les locuteurs se départagent : certains, comme Laurent Blanc, optent pour la version la moins raciste (tout en conservant par devers lui la conviction que les joueurs n’ont pas le droit moral de rejoindre les équipes de leur pays d’origine) ; tandis que d’autres se radicalisent.

L’intérêt de cette publication dans Mediapart tient surtout, à mon sens, à ce qu’elle met en évidence la variété des manières de tenir des propos racistes et de prendre des décisions discriminatoires, parfois sans s’en rendre compte : Laurent Blanc ne se considère pas comme un raciste. Des conversations du même ordre se tiennent tous les jours, en grand nombre, à différents niveaux de décision : si nous en étions informés, nous serions moins étonnés par les propos de Claude Guéant.

http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/020511/le-racisme-ordinaire-ses-dits-et-non-dits





Sinon:

[Gone!]

Victoire Ö combien importante acquise à Nancy pour le Losc!
Demain match non moins important pour la fin de championnat, les deux Olympiques s'affrontent, à Gerland...