The Head on The Door - 30ème anniversaire

[Ivlo Dark]

Comme vous le savez peut-être, depuis quelques mois j'officie en tant que chroniqueur pour le webzine Addict Culture.

A ce titre, un de mes articles ayant trait à cet évènement (les 30 ans de l'album de 1985) vient d'être publié.

Je vous laisse le lien:

http://addict-culture.com/the-cure-the-head-on-the-door/

[dodo]

Merci. Tres bel article qui reflète bien l'album et sa place dans la carrière du groupe et de nombreux fans.
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I really don't know what i'm doing here...

[The X Phil]

Excellent !

"Il est vrai qu’avec une résonance datée en ce qui concerne notamment le traitement des claviers, l’album ne se dresse pas en haut d’un podium où les chefs d’œuvre se bousculent (de la trilogie glacée au sommet Disintegration qui sortira quatre ans plus tard)…"

Bah, en ce qui me concerne, même "daté", c'est l'album que je préfère juste après Disintegration et la trilogie
(même si, en effet, ils auraient mieux fait de mettre "The Exploding Boy" et "A few hours after this" à la place de Screw)

[Gone!]

Pas d'accord avec la totalité de l'article mais c'est le risque quand on écrit un article sur Cure
Sinon je me suis toujours dit que The Exploding Boy, que j'adore, était le pendant direct d'In Between days, à savoir quel morceau à nourri l'autre en premier ...
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I can sing, I can dance, I can laugh
As if nothing ever changed
But without you, without you
It can never be the same

[valere]

Je me souviens de cette soirée du 12 Avril 1986 !

Merci pour ce bel article.

[Bokoko]

Te souviens tu aussi de cet autre passage chez Drucker?
Toujours en 1986.
Il me semblait que Drucker se prenait un vent, à la fin de l'emission.
Ou du morceau, je ne sais plus.

https://www.youtube.com/watch?v=ZcvHA6xOrkw

[...]

Album de La rencontre.
Véritable boîte de Pandore pour une partie générationnelle de la contemporaine quarantaine avancée.

Je me souviens de tout, enfin de l'essentiel qui était alors un tout.
De ces deux pages d'entretien de Smith provenant d'un Best, déchirées et immédiatement adorées, offertes par une amie de collège.

Des achats thématiques compulsifs des disques, des magazines et d'autres faux Graal achetés en double, symptômes hystériques et basiques du fan précoce.
Du bonheur absolu et Noir quant à cette difficulté à cerner ce groupe et de la possible mythologie fondatrice, forcément erronée.

De ma colère atterrée et aveugle le jour où The Cure est passé chez Sabatier, un de mes frères hurlant " Tu as vu, y'a The Cure ! ".
Péremptoire, " Non c'est pas eux ! "
Avant de me battre avec ce frère qui se moquait, à raison, de cette prestation qui ne pouvait qu'être catastrophique.

Peu après, j'apprenais qu'ils jouaient au foot, la trahison était totale et le flou aimé affichait dès lors de trop nets contours.

The Head On The Door, c'est aussi l'envie impérieuse de jouer d'un instrument, basse frénétiquement achetée quartier Lépante, à la défunte "Clinique Instrumentale ", ampli Novanex sous le bras.

C'est un réconfort émotionnel bien plus efficace que le Lithium le plus Salé.
Trente ans après persiste des frissons amplifiés par un sentiment adolescent étonnamment intact, qui ne voit rien de daté.

" Seule l’espérance resta au fond du récipient. "